miércoles, noviembre 05, 2008

I WILL SURVIVE..... Ouh Yeahp


Si no fuera porque hace daño a la vista, escribiría con letras de oro. I Will Survive.
Lo haré. ¿lo haré?. ¿seré como el ave fénix que renace de sus cenizas?. ¿seré tan avispada como los que convierten las miserias en oportunidades?. Debo decirmelo, lo haga o no, I will survive.
Debo hacerlo porque renunciar te lacra. Cobarde de por vida. No es un título que quiera tener ni que pueda ostentar nadie con orgullo. Estaría feo tirar la toalla, sobre todo sin saber qué es lo que nos espera a la vuelta de la esquina. Sí. Por la calle del dequicio. La mía tan intricada que tiene más esquinas que Santa Cristina de Lena.
A día de hoy. Estoy harta. Miro hacia atrás y digo," joer, no evoluciono, llevo años igual, ¡¡¡odiando tomar decisiones!!!" Claro, pero no me extraña, porque hace mucho ya que no consigo tomar una al derechas. Si dejase de equivocarme tanto no tarrecería tanto decidir.
Me equivoco tanto que temo equivocarme diciendo que me equivoco. Pero en general, dejar que use mi intuición que además se presume de femenina y la femenina tiene fama de ser casi casi infalible.

martes, noviembre 04, 2008

Desencantada


http://images.google.es/imgres?imgurl=https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjzNzt9fRim0cP6LGSkh0yEQ8U2T7vjsFbA-eIHc8mLrq-Gryx-dBOxA0U1iiw4rHYNEmlitjB9QXUnJTeRDQmc9CTcbJB7LpnWAbaDhox0jfp-7jDueNvDTITm0smyxc9xuZ6J/s400/DESENCANTO+DE+ROMEOZ38.bmp&imgrefurl=http://franofre.blogspot.com/2008_07_01_archive.html&h=400&w=285&sz=39&hl=es&start=76&um=1&usg=__8_Hiob-6kg8-n0KVSjJqnCiaouc=&tbnid=u5q_Hzujjcyz6M:&tbnh=124&tbnw=88&prev=/images%3Fq%3Ddesencanto%26start%3D60%26ndsp%3D20%26um%3D1%26hl%3Des%26client%3Dfirefox-a%26channel%3Ds%26rls%3Dorg.mozilla:es-AR:official%26sa%3DN
antes que nada, esta blog tiene unas fotos de troncharse.

Je suis un peu fatiguée, ces derniers jours j'ai été par mon ancienne fac et j'ai trouvé des gens très très jeunes. C'est comme ça que je me suis rendue compte de qu'il arrivera un jour dans lequel je ne pourrai trouver des visages conus ici. Tous seront jeunes et neus.
L'année dernier l'avait dit le professeur de sociologie dans les cours du CAP. Le problème c'est que pendant le professeur est chaque fois plus agée, les années semblent avoir pardoné aux éléves, et oui, parce que les éléves, bien qu'ils changent, ils auront toujours le même âge.
J'ai trouvé aussi le désencant avec beaucoup de choses, par beaucoup de raisons. Je n'ai fait que mal choisir, enfin.
Maintenant je crains d'avoir choisi de partir quand je ne devrais pas. Je crais aussi d'être trop vieille déjà pour faire des choses que j'ai toujours voulu faire et que je ne pourrai plus.
Je crais d'avoir perdu des amitiés que je croyais assez sures. Surtout par rapport à ça, je crains de m'avoir trompé avec cettes personnes pendant des années. Des personnes trop orgueilleuses, que même si elles se trompent elles ne le diront jamais. Ça, ça... si on a passé ensemble de très bons moments je m'en fou, mais ça ne vaut pas la peine.
Ni un seul mot, ni un seul pardon. Putain d'orgueil ou putain de fille aveugle qui ne voit pas que j'avais raison, que c'est incapable de dire "excuse-moi", qui ne se rends pas compte que je serai ravie de la pouvoir pardonner, que je veux le faire, que je veux reprendre notre amitié... mais ella l'a si maltraité que je ne sais pas, je ne sais pas si est-ce qu'on pourra la sauver.

Aujourd'hui, 4 de Novembre de 2008, pendant que les jours se passent sans attendre personne.

sábado, noviembre 01, 2008

EYE On the SKY by NOA

http://www.youtube.com/watch?v=HokvOpXwArE
Pos na mes chers
aquí os dejo una versión
de una canción preciosa que
merece la pena.
Ya os contaré.

viernes, octubre 31, 2008

Sí o sí.


Las buenas historias deben ser como la levadura, fermentan inevitablemente en nuestras mentes, durante años, esperando que podamos sacarles partido algún día, elaborando algo que puede llegar a ser grande.
Al menos así es como deberían ser las cosas.
Buon Giorno a Tutti.

LO DEJO TODO EN LA TESA


Cuántas veces no me habré quedado embobada mirándola. Tan alta, tan fuerte, tan magestuosa, tan desafiante, tan maternal.
Siempre me ha costado desprenderme de ella porque sólo frente a su orgulla piedra me siento de algún lugar.

Si algún día, estando lejos, sólo pudiese tornar a un único lugar, ese lugar sería desde el que pueda verla por su cara más amable, la que me es más familiar, la que veo desde la casa de mi abuela, cuando pienso ¿por qué busco tan lejos el paraíso, acaso esto no lo es?

La Mesa, La Tesa, La Almagrera, y a lo lejos Peña Ubiña, siempre blanca, por la nieve o por los brillos de sus rocas claras. A la izquierda una peña negra y El Carrizal.


Por qué siempre diré que quiero irme. Por qué haré tantas veces las maletas y mi acalorada imaginación me pedirá correr tanto, y sufrir tanto también, si no me siento en ninguna parte como me siento ahí... Yo pertenezco a estas montañas, y si no a ellas a los valles que guardan.

Será que a los tesoros se les ve brillar más de lejos.

domingo, octubre 26, 2008

Zazie Sur toi



J'écris sur ce que j'endure
Les petites morts, sur les blessure
J'écris ma peur
Mon manque d'amour
J'écris du cour
Mais c'est toujours

Sur ce que je n'ai pas pu dire
Pas pu vivre, pas su retenir
J'écris en vers
Et contre tous
C'est toujours l'enfer
Qui me pousse

A jeter l'encre sur le papier
La faute sur ceux qui m'ont laissée
Ecrire, c'est toujours reculer
L'instant où tout s'est écroulé

On n'écrit pas
Sur ce qu'on aime
Sur ce qui ne pose pas
Problème
Voilà pourquoi
Je n'écris pas
Sur toi
Rassure-toi

J'écris sur ce qui me blesse
La liste des forces qu'il me reste
Mes kilomètres de vis manquée
De mal en prose, de vers brisés

J'écris comme on miaule sous la lune
Dans la nuit, je trempe ma plume
J'écris l'abcès
J'écris l'absent
J'écris la pluie
Pas le beau temps

J'écris ce qui ne se dit pas
Sur les murs, j'écris sur les toits
Ecrire, c'est toujours revenir
A ceux qui nous ont fait partir

On n'écrit pas qu'on manque de rien
Qu'on est heureux, que tout va bien
Voilà pourquoi
Je n'écris pas
Sur toi
Rassure-toi

J'écris quand j'ai mal aux autres
Quand ma peine ressemble à la votre
Quand le monde me fait le gros dos
Je lui fais porter le chapeau

J'écris le blues indélébile
Ça me paraît moins difficile
De dire à tous plutôt qu'à un
Et d'avoir le mot de la fin

Il faut qu'elle soit partie déjà
Pour écrire " ne me quitte pas "
Qu'ils ne vivent plus sous le même toit
Pour qu'il vienne lui dire qu'il s'en va

On n'écrit pas la chance qu'on a
Pas de chanson d'amour quand on en a
Voilà pourquoi, mon amour
Je n'écris rien
Sur toi
Rassure-toi

viernes, octubre 24, 2008

Où tu arrives vers nulle part?

Il s'agit de l'histoire d'un homme qui se laisse bouger par les vents qui emportent les circonstances de cette vie si changeable.

Si il avait des moutons ils iraient toujours où ils veulaient car il, le maître, ne connais plus les chemins, non plus les près où ils pourraient trouver de l'herbe fraïche.
Si il avait un bateu, il s'agisserait sans doute d'un bateau sans timon, sans voiles, rien de plus que l'armée en bois poru floter sur la mer sans se noyer.

La cible de ses voyages: chacune des côtés du rond monde qui puisse signaler la boussole.

Où est-ce qu'il mangeait? où on avait une assiette prête pour lui.
Où est-ce qu'il dormait? où il trouvait une place sèche et confortable.

Quand il était petit, il ne voulait que devenir grand, quand il était déjà un adulte, il ne volait que devenir agé, et pui, il ne voulait que profiter de la vie que lui restait qu'en attendant la mort.

Les gens comme lui, finallement ne sont pas tout à fait heureuses, non plus malheureuses car en se laisan bouger pra les fleuves sauvages des évenements de chaque jour, elles ont toujous des motifs pour se plaindre et aussi des surprises et des excuses pour être contents.
Mais qui est comme lui, fianllement oublie le sens de sa vie. Et si c'est déjà difficil d'arriver à identifier ce sens-ci, plus difficil encore c'est d'arriver à ne pas l'oublier.

Lui, il prennait toutes les chances, il voulait toujours laiser toutes les portes ouvertes et lui, il ne faisait jamais tourner sa tête, alors je vais vous raconter ce que lui serait arrivé de l'avoir fait. Si il avait fait tourner sa tête en arrière, il aurati vu que lin d'avoir plus de portes ouvertes, le rien souflait un vent froid sur ses épaules, il faisait tellement de choix, de changements sans ordre qu'il aurait mal à se rappeler de plusierurs. Plus encore... parmi les protes qu'il avait en face, toutes étaient fermées ou un peu ouvertes, aucune d'elles totallement ouverte. Il ne aprofondisait jamais en rien.
Et la porte la plus lointine de lui, celle qu'on lui aviat doné comme destin depuis le jour de sa naissance.

Qu'est-ce qui fairait-il?


Comme vous pourrez apercevoir, j'ai des idées étonantes quand je voyage en train lol, ok, c'est comme ça, c'est justement que je ne veux pas oublier ma deuxième langue préférée, lol.

jueves, octubre 16, 2008

Tout s'est passé vite

On peût faire des embardées et tout d'un coup découvrir que tout c'est passé. Les nerfs, les palpitations, la forte respiration, les doutes, n'avaient pas une raison d'être puis que tout s'est passé vite et que l'on n'a que perdu le temps pendant que l'on s'inquietait pour une chose qu'il était sur le point d'arriver. Les choses les plus importantes de nos vies, toujours arrivent sans nous rendre compte, on ne les attend jamais, et on n'a pas apris qu'elles sont importants qu'avec du temps.

Mais rien n'est encore décidé, il faut mettre la cerise sur le gâteau. Il y a quelque chose qui manque encore. Et pendant je me le demande, le temps passe, clic clac clic clac. Sans repos.

Il y a des fois qu'il faut mieux avoir de la patience. Mais pas trop! parce qu'il faut bouger!

Maintenant je suis en train d'écouter presque toutes les versions de "On the streets where you live" qu'il existent lol, je vais le faire jusqu'au ce que je commence à l'hainer. C'est comme ça! on abuse de ce que nous fait plaisir pendant qu'il ne nous dégoûte pas, mais ça arrive souvent.

Est-ce qu'on pourrait alors finir par aimer ce qui commence par nous dégoûter? si c'est comme ça je finirai par aimer l'Histoire et hainer la Literature lol. Tout arrive, c'est par celà que c'est si difficile dire NON. Parce qu'on a peur de refusser à quelque chose de grande, d'importante, qui puisse nous changer la vie.

Mais bon, en changeant de sujet, j'ai déjà fait ma presentation dans un Congrès international et celà il semble déjà quelque chose d'importante. Mon article est toujours pas trop mûr, mais au moins cette expérience m'a aidé à connaître comment est-ce que je peux me débrouiller dans une situation pareille, et bon, pas mal du tout!

Je n'aime pas le dire comme celà mais oui, j'ai été un peu victime, un bouc émissaire ou quelque chose qu'il le semble lol.

Dans ma première presentation j'ai eu plein, plein de questions. Au moins celà me fait penser que j'ai attiré un peu l'atention. Il y a eu même un tout petit débat, et c'est la seule fois que j'ai vu quelque chose de pareil dans ce congrès-ci.

Bien sûr je ne suis pas allée à toutes les présentations car je suis en train de faire un peu de vie sociale, lol, et les autres experts qui vont souvent aux congrès m'ont dit que le plus fréquent c'est se laisser voire un peu au lieu du congrès et puis partir prendre un pot ou quelque chose dans plusieurs bars lol. Ce que j'aime la vie des congresistes si c'est toujours comme celui-ci lol! Mais cet autre d'Historire Médievale, il n'était pas mal non plus.

Mais bon, les gens qui me connaissent un petit peu là-bas, m'ont dit que j'ai été très élégante par reconnaître mon ignorance ha ha ha. Oui, c'est bien celà, si est-ce qu'on est bêtes il faut au moins montrer qu'on est suffisament vifs pour le reconnaître avant de que ce soit évident pour tout le monde lol.

Ok, le petit informe c'est fini. Bye bye.

sábado, octubre 11, 2008

ENCORE ET ENCORE ET ENCORE UNE FOIS



Toujours pareil, j'ai en marre, je ne le soupporte plus. Je ne l'aime pas. Je ne veux pas en retourner encore, mais oui, je suis là, encore et encore et encore une fois, sur le même point.


Même si je crois avoir fait des taps de trucs pendant tout ce temps là, je n'ai pas bougé.


Comment arrêter cette histoire sans fin? cette histoire que toujours arrive au point de départ. Si coquine qu'elle me semble chaque fois différente, et pourtant elle est toujours la même.




Là je m'arrête, je prends de l'air. Je me dis encore une fois, j'ai en marre. Je me dis aussi à nouveau, ok, c'est égal, je m'en fous, je n'en ai pas besoin. Mais maintenant je commence a identifier ces moments d'évanousiment, d'atourdisement et de folie. Parce qu'ils ne viennent jamais a moi par première fois, et non plus par dernière.




Je ne trouve pas la façon de m'en fuir de la prison que j'ai construit moi même tout autour de moi.






sábado, septiembre 20, 2008

Otoño

Llega el romántico Otoño. Aquí las hojas aún no amarillean, será por el cambio climático, que todo lo cambia, a ver si consigue llevarse de mi vera los fantasmas que me rondan.
Hoy vuelve a incordiarme un fantasma ya conocido, un fantasma del día 21 de hace ya casi un año. Más me molesta el fantasma incorpóreo de un beso, un beso del día 23 de hace ya casi un año. Los aniversarios podemos hacerlos prácticamente de lo que nos de la gana. No se trata de recordar algo una vez al año, se trata de hacer evidente lo que nos viene y reviene a la mente durante los doce meses que son testigos de tantas, tantas cosas. Los aniversarios son la excusa para esteriorizar las promesas y los fantasmas, gritarlo a los cuatro vientos si así lo queremos.

Aún me pregunto por qué me lo pregunto. Las cosas son así a veces, simplemente suceden. Sería cómodo decir que todo es cosa del designio. El caso es que me acuerdo, recuerdo y me duele. Contra todo sentido común, contra todo moralismo, contra mi propio bien, contra la lógica, e incluso, contra mi propia voluntad. Recuerdo. No lo puedo evitar.
Por eso hoy lo expongo. Porque no hay más.

Ciertos recuerdos da gusto cogerlos al vuelo y abrazarlos como suaves mantas de niño que nos traen dulces recuerdos de infancia, o como caricias de carne conocida, o como paquetes de reyes aún no desenvueltos, o como fardos de cartas compiladas y guardadas durante años. Otros recuerdos son, con perdón, moscas cojoneras. Las espantas de la mejor manera que sabes y vuelven, vuelven con sus insoportables zumbidos. A veces te gustaría estrapallarlos contra la pared, pero te preguntas si acaso eso no ocasionaría una lesión cerebral o algo por el estilo. Al final, uno acaba jodido por las putas moscas cojoneras de ciertos recuerdos, o bien acabas acostumbrándose a su impertinencia y su constante aleteo, no sé cómo lo hacen pero estén donde estén en la habitación siempre parece que las tiene uno metidas en el oído.

Hay que ver lo maleables que somos las personas, nos hacemos a todo!, un día pensamos que ya no nos acordamos de algo y de pronto ban! si estamos pensando eso es porque aún nos acordamos! la mosca! pensábamos que ya no estaba ahi pero siempre a estado! la muy puta! y entonces, desde que somos conscientes, comenzamos a oirla más y más fuerte. A veces hasta se atreve a ir más allá y la jodía nos pica, nos muerde, y todo de pronto, una vez más, duele.

Y luego lo que duele no es tanto el recuerdo en sí, sino que siendo en teoría el recuerdo de dos, tan sólo lo sea en la práctica de uno.

El mundo estará bien o mal hecho, pero una buena parte de él no está correspondido. Las personas a las que importamos a veces no nos importan, otras ni las conocemos. Luego pasa al revés y ya ni los recuerdos son correspondidos. Natural visto así ¿no?

A veces me da por pensar, que en el fondo estamos sólos, pero que tenemos sensación de compañía porque en el fondo también todos somos iguales y a todos nos pasa lo mismo, en mayor o menor medida. Podrían tal vez meternos a todos en el mismo saco. Un saco grande y con agujeros por los que se cuela algún que otro digámosle "original", que no lo es tanto, porque hace miles de miles de años que no hay suelo virgen y, con sus variantes, ya todo está inventado. Y nuestro egocentrismo llega a ser tal, pero en parte tan cierto, que no acertamos a concevir nuestra vida sin nosotros. Como si las personas que nos cruzamos no pudieran pasar de ser los personajes secundarios, extras y decorado de la historia de nuestras vidas.

Otoño. Tal vez sea el Otoño de la melancolía. El Otoño que sentencia la agonía de algo que ya en Invierno y sin remedio morirá. Morirán los recuerdos vivos. Los transformaré en simples recuerdos que podré rescatar cuando quiera y no me volverán a asaltar y sorprender con la guardia baja. Además, sólo yo les doy importancia, y sí, eso es lo que más me duele, que de todo lo que queda sólo me haga cargo yo.

Cuando se rompió todo, uno dejó los pedazos en el suelo, otro los recogió, a sabiendas de que con ellos no se podría hacer nada porque el viento y la lluvia convirtieron en polvo algunos de aquellos, que eran más pequeños, antes de que le diese tiempo a recogerlos todos. Sólo uno tomó los pedazos, el otro huyó para no dar cuentas del destrozo. ¿Ahora qué hago? no es tan fácil como hacer limpieza. Los trozos puntiagudos se han incrustado y metido muy adentro. Aprendida está la lección, tengo que dejar de recoger "cacharros inservibles del suelo" o acabaré con el síndrome de diógenes, pero en mi cabeza, y eso debe tener solución más difícil que llamar a los servicios municipales y a una grúa para que recoja la basura!

Enfin... I have you under my skin.

sábado, septiembre 13, 2008

IL ÉTAIT UNE FOIS

Hubo una vez un pequeño y diminuto reino, junto al Loira, donde tantos castillos fueron construidos por la flor innata de Francia y parte de Europa, ahora ocupados por ilustres fantasmas de largas listas de apellidos pero de los que ya casi nadie se acuerda.
Era el reino de las Torres que aguardaba cada otoño a que sus tronos vacíos fuesen ocupados por príncipes y princesas de muy distinta procedencia. Suyo sería Tours, el reino de las Torres mientras durase su mandato, apenas unos meses, hasta que tuviesen que irse en verano para prepararlo todo para el siguien reemplazo.
Cuando llegaron los destinados a descubrir las maravillas de aquel reino y sus gentes corría el otoño del 2005. Alguno hubo que en principio se sintió perdido, ¿cuál sería ahí su cometido? ¿llevarse todo el conocimiento de l'Université François Rabelais? ¿aprender el idioma del pueblo? ¿ser anfitriones de las fiestas del reino? en resumidas cuentas su misión era clara aunque ellos al principio así no lo vieran, se trataba de vivir, disfrutar, aprender, CRECER.
Aquel año corto de reinado les serviría para poder llevar siempre consigo una parte de lo propio, una parte de lo adquirido, una parte de lo renovado, todo hilvanado por siempre y en todos lados.

No sé si el Puente de Piedra se acordará de nosotros, que´tonterías, es un puente y harto estará de las gentes que hayan pasado por encima y debajo de él, pero nosotros siempre nos acordaremos de que ahí hemos bailado, como locos en bacanales, con la felicidad del que cree vivir un instante eterno, un instante que puede repetir allá donde se alle, con solo cerrar los ojos, con solo desearlo. Y lo deseamos a menudo.
Ójala las calles, el río, los bares, los árboles, la brisa, el olor de los pains au chocolat, la gare, el botánico... se acordaran de mí y me echasen de menos, me dijesen que me necesitan a su lado para no sentirse tan tristes y solos como yo me siento sin ellos cuando recuerdo la buena compañía que ahí tuve.
Podían haber guardado las casas de pain de bois los ecos de nuestras risas y retenerlos para cuando volvamos, porque volveremos. Siempre "volvemos" pero algún día lo haremos realmente. Si los momentos son eternos, ¿una vida repleta de tales momentos no lo será también?

Llamazlo "refugio de tiempos de guerra" si así lo quereis, pero ese lugar, ese momento, será por siempre mi cobijo. Tours (2005-2006)
el tiempo ha pasado en vano.

domingo, agosto 31, 2008

Galicia te atrapa




Se ha acabao el bodorrio y no sé si merecerá la pena preparar un día durante un año, porque un día tiene unas 24 horas, en el caso de las bodas alguna más, mientras que un año... tiene muchas muchas horas, es que no se me apetece echar la cuenta ahora. Bueno, preguntaré a los recién casados.
La boda y la fartura, osea la comilona, se celebraron en la purísima raya de Asturias con Galicia, en la raya entre Taramundi y Vegadeo estaba la iglesia, y casi que en la raya de Vegadeo con Navia el restaurante. Tanta raya acabó rayándome y surgió el absurdo de las fronteras, pero bueno, aunque solo sea por el tema administrativo supongo que son necesarias y sobre todo en sitios tan pequeños es sumamente chocante porque das dos pasos y cambias de pueblo, concejo, provincia y comunidad autónoma. Encima las carreteras no estaban muy bien señalizadas que digamos y todos los que veníamos de lejos en general nos perdimos y cada dos por tres pasábamos a Lugo, total que en un solo día ví como unas tres veces el cartel de "Bienvenido al Principado de Asturias", y otras tantas veces que pude pasar por delante del cartel sólo que no estaba mirando. Puede ser un shock cuando no te enteras de que te estás llendo y de pronto descubres que estás volviendo, una y otra vez, una y otra vez... los gallegos deber tener un satélite de despiste o algo así y al final Galicia te atrapa.
Respecto a "la fartura" tuvo bien, pero mañana he de ponerme a dieta sin remedio.
Suelen decir que de una boda sale otra pero no creo que salga una boda que no ha sido ya anunciada. Había pocos solteros de provecho o más bien ninguno y además la novia no tiró el ramo, ahora eso no se lleva, prefieren secarlo a la sombra para tenerlo de recuerdo, les da igual tener parientos y parientas, amigos y amigas pa vestir santos... claro, alguien tendrá que vestirlos no? no se van a quedar por ahí todos en bolas que batante se ha perdido ya el respeto al catolicismo. Imagináos a Santa Rita, la que da y no quita, sin nada que dar porque anda por ahí como Dios la trajo al mundo o peor aun, sin dignidad.
Pues nada, que está bien eso de ir de boda de vez en cuando, porque pa mí que cada vez se casará menos gente, y más que por el dinero por las comeduras de tarro que da, tener contentas a más de un centenar de personas, o a más de trescientas como un primo mío... se le quitan las ganas a cualquiera.
A los novios les deseo felicidad en su vida de esposos, que nunca me gustó la palabra "esposo o esposa" para hablar del matrimonio porque parece que te quita libertad y no tiene por qué pasar. Les deseo también un feliz viaje por Cancún, sin huracanes ni contratiempos jeje. Y poco más, que mi conclusión es que más que un anillo habría que decir que lo que ha unido una hipoteca que no lo separe hacienda, los bancos ni nadie. ¡Esa sí debe ser una prueba de amor! pero hablo por hablar porque como siempre yo no tengo ni idea.

domingo, agosto 24, 2008

UNA HERENCIA INESPERADA

Es tan, tan, tan curioso lo que nos pueden dejar algunas personas después de irse... seguramente no serán conscientes de lo que nos han dejado. No tendrán ni idea de qué es lo que nos recordará a ellas, lo que nos evocará sus rostros o su voz. Pero es que no lo elegimos, todo surge.
Últimamente me sorprendo al ver cuántas cosas prácticas he sacado de un mal de amores. He variado mi dieta y corto de forma distinta a como lo hacía antes los tomates jajaja. Es una herencia extraña pero me resulta sumamente curiosa.
También hay ciertas series de la televisión, ciertas películas, cierta música que gano o pierdo por herencia. Porque las herencias a veces van con deudas jaja y acabas odiando las canciones de Oasis que antes tanto escuchabas. Acabas prohibiendote ver La Hora Chanante. Negándote a probar algo que seguramente está buenísimo sólo porque a alguien a quien has cogido manía le encantaba. Y qué hay de las calles, las plazas, los bares! a veces uno sufre la separación de bienes y no volverá a poner el pie en ciertos lugares, otros por el contrario son descubiertos para nosotros y volveremos agradecidos por su conocimiento.
Las herencias son sumamente curiosas. Cuando conocemos a una persona, no importa el tipo de relación que tengamos con ella, nunca sabemos en qué va a consistir la herencia. Claro, si lo fuésemos a saber de mano tal vez nos podrían tachar de interesados... pero no estaría bien llevar todos consigo una especie de testamento? y presentarnos diciendo: mira, esto es lo que te voy a aportar. Pero claro, ni siquiera nosotros lo sabemos porque cada uno coje lo que puede según su necesidad.
Llega un punto en el que no sabemos si lo que nos gusta nos gusta por nosotros mismos o porque alguien nos ha legado su entusiasmo, no conocemos tampoco el origen de un miedo irracional, de una forma de pensar... porque lo hemos tomado prestado pero puede que ya no sepamos ni de quien y por eso no lo devolvemos.
Hoy me sorprendo recordando a alguien con quien tuve un breve proyecto de vida haciendo ensaladas y haciendo lo propio con alguien que me vendió unos pendientes en un puesto hippie pensando sobre la vida en plan filosófico. La valoración sobre las personas debería basarse en lo que nos han aportado? porque si es así no sé si se debería estar o no en deuda por ejemplo con quien sólo ha aportado sexo y consejos culinarios.
Solicito otro clavo.


Y esta ha sido la paja mental de hoy

sábado, agosto 23, 2008

El mundo de gominola no es apto para diabéticos.

POR SUERTE
YO NO LO SOY



POR SUERTE
YO NO LO SOY








POR SUERTE YO NO LO SOY









POR SUERTE YO NO LO SOY

Los coments


Acabo de limpiar mi blog de porno y mierda de viagra, tarot y demás parafernaria. Lo tenía metido disimuladamente en los coments.
Empecé borrando uno y luego me los leí prácticamente todos. Los últimos años de mi vida, en especial los momentos bajos porque parece que es cuando más utilizo el blog, a través de vuestros comentarios, de vuestros ojos, aunque sé que no todos habeis dejado rastro de vuestro paso y que más de uno le tiene alergia a los teclados. Os lo agradezco a todos, mucho.
Gracias a esta limpieza he visto que mis incondicionales abonadas son Mirta, Mery y atención, atención Anna Tcheque, mogollón de veces me ha escrito, esta chica tiene una paciencia la pobre que es de admirar. También está el famoso Francisco, que parece uno más, los comentarios de Jeff y de algún que otro anónimo que nunca a querido salir de las sombras.
Los poco habituales pero tan estimados coments de Edu. Siempre consigue que mis lágrimas asomen al borde de mis ojos.
Los mensajes tan suyos de Luz invitando a cafés y pitis (en mi caso pasivos), las palabras de Veroh!, el mensaje en alemán de Valentín, el apoyo de Iris, el recuerdo de Angie y de Chris de clase, los bonjours de Adri, le cazzate de Luci Parra, los ánimos de la hermana de Marta... enfín que a todos muchas gracias.
Echo de menos escribir en el blog, pero hace tiempo que no me siento con la libertad que tenía antes para hacer fluir las ideas y dejar que resbalasen por mis dedos hasta formar palabras que luego puedan ser leídas. Hace tiempo ya. Tal vez por eso, porque ya no disfruto tanto escribiendo, tal vez ese, ese sea un buen motivo para pensar que entonces sí fui feliz. Sin pretender ni mucho menos quejarme de como estoy ahora, porque no, no me puedo quejar. Me lo paso en grande en vacaciones. Estudio pero me encanta estudiar. Tomo el sol y disfruto sin complejos. Me rodea gente amable y simpática que me ofrece casi a diario su sonrisa. La verdad es que estoy bien.
Pero me da pena pensar en cómo hay personas de las que no sabemos más. Quiero saber de Fabio Torino, quiero saber de excompañeros de clase, de los niños del parque y del pueblo... y si han desaparecido y no me entero? puedo pensar en ellos sin que ellos se acuerden siquiera de mí? por qué son tan importantes para nosotros las personas para las que no lo somos? cuando pienso en esto también pienso que tal vez el mundo no está bien hecho.
No podemos ser tan inocentes como para no darnos cuenta de la falta que hacemos a la gente, para ignorar que hemos cambiado la vida de una persona con una sola e inconsciente palabra, pero a veces pasa y ni nos enteramos.
A los que estais ahí, aun os digo que no quiero olvidarme de vosotros. Me parece injusto, tremendamente. Aunque sólo así sea, os prometo rendiros tributo con mi memoria.

Un besito de buenas noches mis darlings.

Por la fluidez, que vuelva...

lunes, agosto 18, 2008

A silent city


Cómo puede cambiar una ciudad cuando sabemos que alguien ya no está en ella.
Podemos verla vacía, desierta.
De pronto ya no hay más gente que encontrar, sólo cruzamos fantasmas, sombras que en absoluto nos interesan.
Dejamos de fijarnos en los rostros porque sabemos que el suyo ya no estará, ya no estará, ya no estará... igualmente, ahora parece que queda más aire para vivir y respirar.

lunes, julio 07, 2008

2 WEEKS

Dos semanas con tiempos muertos acompaniados de sobresaltos en ratos intensos. Asi ha sido hasta este momento mi vida en Paris. Amamos esta ciudad o la odiamos? en todo caso parece que la pasion que sus muros grises y soleados cafes despiertan representan una trampa que no te permite emprender el vuelo. Paris, hay dias en que se convierte en el blanco de los odios y las penas, hay dias en que uno sufre de enfermedad y amor por ella.
Es demasiado facil el anonimato en una gran ciudad como esta. Paso muchos ratos sola, pero no son ratos molestos, porque hagas lo que hagas aqui casi nunca te aburres. Las mas de las veces acabas agotado por haber caminado tanto y por haber visto tanto, tanto, tanto.
Al acabar la jornada mis pies estan doloridos y mis ojos saturados de imagenes que trato de retener inutilmente porque comienzo a mezclar todo y ya no veo nada.
En la primera semana he sufrido la incomprension de la escuela y el shock cultural de los malos modos franceses, luego me he habituado, o sera que todo se lleva mejor cuando Espania gana la eurocopa... Veo a Michael a ratos pero tampoco quiero atosigarle. Con la familia muy bien, hasta me invitan a comer marisco, y en Paris!! todo un lujo, y como me gustan los bigaros!!
He sufrido acoso durante unos 3 o 4 dias y tengo que dar las gracias por no ser una belleza como para que esto me pase a menudo. He estado chunga tambien, a punto de desmayarme 4 veces, 3 el mismo dia, estaba preocupada por lo que seria pero si no me vuelve a ocurrir no ire al medico porque no se muy bien como funciona en Francia.
Ahora han llegado nuevos estudiantes a la casa, esta noche seremos cuatro mas el hombre y la mujer de la familia, los ninios ya se han ido todos de vacaciones, la casa va a parecer mas bien una residencia o je ne sais pas quoi.
Por ahi espero que todos bien.
Sigo en la ciudad del amor mas sola que la una pero contenta de estarlo, lo unico que me gustaria seria gastar menos dinero pero c'est Paris, una ciudad para gastar y lamentar lo gastado, para pasear y admirar lo encontrado.

Besos a todos.

viernes, junio 27, 2008

La Ciudad Hostil tiene un nombre mas romantico y huele a baguette

Me digno a escribir aqui porque hoy puede que sea el ultimo dia del que dispongo de internet. Llegaran el lunes como 150 alumnos nuevos y la sala de informatica sera cerrada unica y exclusivamente para las clases. A veces pienso que esto de los cursos de idiomas es una estafa tras estafa, y uno se llega a empachar. Estoy hasta el culo, pero estoy con una beca, no me puedo quejar, sin embargo no dejaria de ser yo si algun dia dejase de quejarme...
Hay algo positivo que decir y es que finalmente me lavan la ropa y puede que hasta me la planche la muchacha planchadora de los martes por la maniana.
Me da igual si por un casual lo lee alguien asi la persona implicada se dara por aludida pero la profesora es una vaga, pasamos las horas en tiempo muerto, creo que en otros niveles se hace mas que en el avanzado, eso si, nosotros curramos porque hoy viernes ya hemos hecho un examen con gramatica, resumen de una investigacion inutil que nos mando hacer y una exposicion oral que hicimos en clase y puede que fuese la que mas la preparo pa que luego salga una mierda por hacerlo como ella pedia y por acortar cuando me metio prisa.
Me siento gilipollas aqui hablando frances. Cuando estoy en Espania es como si lo hablase mejor, pero bueno, ese es otro tema.
La proxima semana ya no tendre internet y tendre un horario superchungo, de esos con horas muertas e idiotas... esta escuela tiene claramente menos capacidad de albergar alumnos de la que quisiera tener. En resumen, deberia tener menos gente en verano y punto.
Ayer era el partido de Espania, queria verlo en un bar a toda costa y me costo lo suyo. Las sudamericanas en general pasaban de todo, sabia que normalmente se iba a otro bar pero una mexicana me dijo otro a donde iba. Llegue, la llame, mis mensajes le llegaban dificilmente y los suyos a mi, si es que alguna vez los envio, jamas. Asi es como pase la soirée de ayer en un bar lleno hasta las trancas de gente; tambien habia espanioles gritando, y yo ahi, sola. Todo el mundo debio darse cuenta porque no tenia a nadie con quien celebrar los goles. La mexicana aun sabiendo que no recibia mensajes, dice haberme enviado un mensaje diciendo que no iba. Si la seleccion hubiese perdido no se que hubiera hecho, irme llorando en el metro? pero me fui con la cabeza bien alta, agarrada por el orgullo de 3 goles en favor de Espania.
Paris vale una misa... la misa del entierro de mi alegria. De maitines al Angelus paso hambre aunque no ayuno. Guardo a menudo voto de silencio y aunque no en mi celda, me aislo. Debo estar haciendo algun tipo de penitencia, al menos estaria bien enterarse de ello.
Algo no marcha y no se el que. Si animos de nada OBJETIVAMENTE puedo ser agradable y simpatica. Igual es mi independencia momentanea, que no casa con el gregarismo. Esto de a veces si y a veces no no debe dar resultado. Yo que sé, por ahora tengo que estar aqui asi que solo me queda decir eso de JE M'EN FOU!

domingo, junio 22, 2008

Hoy brilla el sol en la Ciudad Hostil

Sobreviviendo a los hostiles gracias a los amigables amigos de los amigos, de los amigos de los amdigos, y los amigos propios también. Sobreviviendo a las ensaladas de zanahoria, pipas, queso fresco, uvas pasas, mostaza, aceite y miel... (nos han usado como cobayas).
Sobreviviendo a Chueca, a donde siempre nos llevan nuestros pasos. Hoy brilla el sol en la Ciudad Hostil y el aire de verano se ha llenado de promesas que se podrían cumplir.

Cojo el avión hacia Francia y me siento mejor con esta ciudad de paso, porque cada vez que vuelvo hago más las paces con ella. Le he guardado demasiado rencor y creo que se lo debo, que tal vez he sido demasiado injusta. Será cuestión de comprenderla y de aprender a vivir en este Madrid que es un zoo.
Está la jaula de los monos. La de los loros y ninfas tropicales. La de los osos pandas. La de los leones. La de las ratas... un inciso ya sin metáfora, ésto está lleno de cucarachas.

Me voy a comer brócoli y la próxima vez espero escribir desde Francia.

lunes, junio 16, 2008

LA MISERIA HUMANA


Ostentando el mayor privilegio, el de la vida,
hiciste uso del fuego que te había forjado
para calcinar cuanto existía

Erigida reina con alegría
sobre ruinas de pesadumbre
que las esperanzas dejan en lejanía

Con tu cetro y con tus galas
ignorando tu superioridad efímera
volaste cuanto pudiste con ambiciosas alas

Innoble miseria humana,
deshonesta existencia la tuya,
tan llena de acción insana

que tanto ser humano
puede ser una virtud
como el mayor de los pecados.

GRANDE, ENORME HUMANIDAD
¿POR CUÁNTO EL ALARDE DE TU MISERIA? ¿POR CUANTO?
Mis dudas comienzan por no saber si admirar a lo que porfía en hacerse grande con los escollos que parecen tan propios a su insondable destino.

http://www.youtube.com/watch?v=VxVkXj26qds

miércoles, mayo 07, 2008

MEJOR NO SABER.


Hay veces que la ignorancia me hace más feliz que el saber demasiado y sin embargo, me empeño tanto por saber, por conocer... que cabo mi tumba, descubriendo cosas que me hunden, que me entierran. Para esto, mejor no saber. Ahora lo sé. Valga la contradicción.

Mejor imaginar incluso. Cómo me gustaría ahora hacer que no sé nada, para dejar de pensar en lo que sé. Y sin embargo, sé tan poco...

Pero lo poco a lo que he llegado, me ha bastado, no indagaré más.

Dulce ignorancia que en la miel me tenías, sonará a cruel pero cuán mayor es mi amargura ahora que siento la felicidad de quien me ha hecho llorar, y me repugno por ello pero si al menos a mí me fuese mejor... para esto, para esto mejor no saber.
Para tener la certeza de que ya no eres nada. Para saber que el tiempo y el viento ya te han borrado. Para ver cómo hay sueños que se levantan de la nada mientras los míos apenas alzan la mirada. Para saber lo que estará haciendo. Para poder ubicarle en un lugar y un momento, para no poder olvidarle. Para eso, mejor no saber nada.

La moraleja de hoy supongo; el conocimiento no nos hace felices.
Y volviendo al último día en que escribí, Cuidad lo que deseais porque puede cumplirse... para la próxima tendré más cuidado con mis deseos.

Besos.

martes, abril 29, 2008

En el mundo astur

Historia de una ida y una vuelta de una visita y de dos turistas

Va siendo la época del Oficiality's Concert, más conocido como El Conciertazu de la Oficialidá, ya que debo ser la única elementa que lo llama así. Tengo la certeza de que iré pero no tengo aún muy claro de con quién.
Después de unos rebeses previstos y unos derechazos imprevistos (y yo me entiendo) fui. Por suerte hubo una certeza en todo el finde, la Marta venía.
Una eternidad en la estación de Alsas debido a ciertas confusiones con los horarios y la Marta ya estaba en el Norte. El balance del finde con ella fue muy bueno, pero con su afán de querer eclipsar al sol, se lo llevó y a día de hoy, aunque hace horas que se ha ido, Don Lorenzo aún no a vuelto, será que no se quiere creer del todo que ya no está aquí y le tiene miedo.
Marta, que como tiene raíces dispersas se presta a distintas presentaciones, era sevillana, madrileña o italiana según tuviera que ser presentada a uno u otros. Ya lo dice Risto, somos productos y tenemos que vendernos. Pero, por mucho que quisimos vendernos, no pudimos convencer a ningún buen mozo de izquierdas de que somos un pedazo de carne. ¡Pa una vez que lo queremos ser!
La conclusión es que en estos eventos en los que hay causas mayores y más fuertes, nadie ni nada puede desviar la atención de las fuerzas mayores que tienen a todos y todas tan implicados. Así pues, acabamos por implicarnos tanto, tanto, tanto que hicimos que la sidra corriera como ríos amarillos por nuestras venas.
Un ataque de hipo y una indigestión de atún podre del Más y Más, que por cierto es un supermercado andaluz, acabó por frenarnos y dejamos de incordar a un recién colega punki para que fuese nuestro "esclavo escanciador".
El mear no era fácil, puede que por eso la sidra acabara por montar tanto a la cabeza. Los baños daban asco, ¡qué digo! ¡Puto asco! y no había más remedio que recorrer el recinto ferial en busca de algún rincón oscuro y acogedor. El inconventiente era que dos seguratas se dedicaron toda la noche de perseguir a los meones y meonas incluso con focos, como si fuesen "voyeurs" camuflados de inocentes acomodadores de cine.
Un peazo pizza acabó con el hipo y la abstinencia con la indigestión de atún. Andamos y andamos hasta el bus porque el guarda de la puerta ya había dicho que a aquellas horas no ponía cuño, que estampaba hostias en la mano con un garrote. Mejor no volver :S

De todos modos no debimos perdernos tanto, sólo nos fuimos cuando los hombres comenzaban a quitarse las camisas y cuando no podía contarse ni un sobrio entre todo el follón. Naaaaaaaada que mereciera la pena.

El domingo fue un día de... de comer como cerdas! como guarras! como sucias! de fartar ensín parar! somos un par de goches!
Porque empezamos desayunando fuerte... esto... café con suspiros de pajares, con pizza a la boloñesa y pizza barbacoa... dimos una vueltina pa bajar el desayuno y sin quererlo "ni comerlo" surgió el aperitivo... luego ya nos plantamos casi de improvisao en Luanco y ¡más que comimos!
Pronto llegó la noche y la hora de cenar, menos mal que no merendamos porque claro, acabando a las cinco y pico de comer... aunque no saltaron unas cervecuques en el Lavaeru. Hemos perdido la figura que nunca del todo conseguimos pero coño! es que ahora estamos más lejos!

No sé si fue en parte pa compensar tanto exceso de kalorías o qué pero al día siguiente nos fuimos a Oviedo y lo pateamos pero bien!
Si alguien invita alguna vez a alguien a estes tierres tiene que saber que es más fácil de enseñar Oviedo que Gijón, pero con un cacho.
Intenté hacer la visita lo más cultural posible pero solo me salían chismes y cotilleos jeje será inevitable e intrínseco a mí misma.

jueves, abril 24, 2008

Anhelos.












Lo dicen a menudo, las personas con conocimiento de causa: Ten cuidado con lo que deseas porque puede cumplirse.

martes, abril 22, 2008

Se secó la tinta

Quiso imprimir toda su vida con tinta, dejar constancia de cuanto hizo y cuanto soñó, en palabras.
Absorvió otras tantas ideas de los libros, que le llevaron a confundir su vida con la de otros, con la de las personas que existían o fueron, con la de los personajes que nunca se materializaron más allá de la mente donde fueron creados.
La tinta, el papel impreso, los versos escritos, las letras, las palabras, las páginas, los libros, tejieron en torno a ella arroyos de historias propias y ajenas hechas propias, que pretendían escapar del olvido.
Vació su mente sobre folios y folios para preservarla del tiempo, para preservarla de su propio olvido. Y empezó a olvidar.
La seguridad que el papel le daba hizo que por sí misma ya no fuese capaz de acordarse de más.
Un día ocurrió una desgracia. La vieja madera de la ventana de su cuarto cedió ante las corrientes de viento y ésta se abrió con gran estruendo. Los escritos salieron volando por la ventana. El cielo se llenó de hojas blancas semejantes a palomas y por un instante taparon el sol.
El sol no volvería a brillar para aquel alma temerosa de la muerte y el olvido. Aquel alma que pretendió preservar todo lo suyo en algo tan endeble como el papel, tan corrosibo como la tinta.
Corrió en busca de aquellas hojas, portadoras de cuanto conocía pero la persecución fue en vano. Lejos las conducía el viento, nunca más las vería así como nunca jamás recordaría cuánto había hecho a lo largo de su vida.
Cuando volvió a casa solo pudo hacerse con retales de cuanto había poseído, girones de pequeñas historias, recortes de pensamientos, borrones de fantasías y sueños incumplidos.
Trató de vaciar su mente sobre nuevos papeles en blanco, pero ya estaba vacía porque no había guardado nada en ella. Se tumbó desnuda y acalorada por la febril locura que la había invadido. Leyó y releyó una y otra vez aquellos escasos papeles rotos y maltratados por el viento que no habían conseguido echar a volar con los otros. Intentaba anclar su mente en algún momento, en alguna frase para luego poder continuar sóla y rescatar algo más.
Lloró tanto, releyó tantas veces aquellos mismos restos, que se le secaron los ojos y ya no pudo llorar más. Su pluma seguía inmóvil, no había uso que darle. Pronto se secó la tinta esperando ser usada y ella, inundada por la deshazón, fue incapaz de inventar nada... su sangre también se secó.
Halláronla muerta, tumbada en la cama, rodeada por papeles muchos con caligrafía ininteligible. Solo algunos sabían de quien se trataba, la mayoría apenas sabían algo de ella. Siempre había sido tan reserbada... si tan sólo hubiese dejado que otros la leyesen, si alguna vez hubiese compartido algo con los demás, aquel violento viento de aquel día no se habría llevado en absoluto su persona.



Podríamos darle un final más feliz.
El viento llevó sus hojas y cuadernos a un lugar en el que vivían muchos niños que jamás habían conocido un cuento porque sus padres empleaban todo su tiempo en ir al trabajo y atenderles como podían; así estos niños crecen felices con las historias de aquella mujer que no se sabe siquiera si alguna vez realmente existió. ¿Qué tal si se llamase por ejemplo, Mari Castaña? jajaja

lunes, abril 21, 2008

MI INCURSIÓN EN EL MUNDO FINANCIERO O ESA CASA DE PUTAS.



Escribo con letras doradas por resultar más apropiadas, aunque lo mismo me daría el verde del famoso dólar o aun mejor el morado de los desconocidos billetes de 500 euros...
Me he hecho una ronda de bancos, he descubierto lo que es el TAE, ignorante de mí! me han explicado las ventajas de los plazos fijos, el mundillos de las tarjetas de crédito y débito se ha abierto ante mí y por un momento me he creido engullida en él, daba vértigo.
La conclusión a la que he llegado es que el dinero NO crece en los árboles, ya lo sabía pero necesitaba que me explicasen bien el chanchullo pa creérmelo del todo.
Señores, señoras, señoritas, sarasas y demás, con mis debidos respetos les diré que nuestro dinero no es nuestro y que vayamos donde vayamos con nuestros ahorros, no importan donde domiciliemos nuestras nóminas (para aquellos que la tienen ya que algunos como yo tardaremos unos 10 años en tenerla), dará lo mismo, habrá mil maneras diferentes y contradictorias que desembocarán en un mismo fin, quitarnos nuestro dinero, hacernos perder el tiempo y hacernos quedar como ilusos, pero ahí no se queda todo, aunque bajemos de la parra donde estamos subidos, no nos quedará más remedio que rendirnos a los bancos, a las cajas de ahorros, a Hacienda... el tinglao ya estaba montado y es imposible salir de él, visto que la alternativa es guardar el dinero en un calcetín o debajo del colchón, eso ya esta muy visto y no es que saliera mejor!!
El sistema nos ha engullido y a veces preferiría no darme cuenta de ello por la sensación de impotencia y gilipollez que te causa.

sábado, abril 19, 2008

Nadie nos lo dijo

Nadie nos dijo lo que podía ser de nuestras vidas. Aun así, la ingenuidad nos hizo felices. Nos hizo felices el simplemente no pensar en lo que sería de nosotros.
Lo grave es que apenas puedo recordar qué era en lo que quería convertirme cuando fuese mayor. Cambiaba continuamente de idea. En ese aspecto, sigo siendo la misma.

Ahora, que ya puedo considerarme mayor, pese a faltarme muchas veces la madurez que me gustaría tener, me pregunto si aquella niña que fui estaría hoy orgullosa de la mujer que hoy soy. No me gustaría decepcionarla pero no sé si lo haría. De todos modos, ya no puedo despertarla, sólo me puedo aterrar a mí misma pensando en lo que he hecho con mi vida, qué podía haber hecho, qué me queda por hacer y qué es lo que está al alcance de mi mano y no sólo allende las nubes donde me portan las alas que sólo se ven con la mente.

Mi mayor miedo es que un día esa niña me llame desde el interior con su débil voz y me pida explicaciones, me reclame el tiempo perdido, me culpe de las desilusiones, me recrimine lo que he hecho con ella. La siento como una hija, a la que por diferencia de edad no acabo de comprender, pero a la que ante todo quiero inspirar orgullo.

Cómo temo a esa niña...

domingo, septiembre 02, 2007

TENSION

Toda su vida despegó los pies del suelo
desafiando a la reina ley de la gravedad
él mismo comenzó a llorar su propio duelo
al verse ahorcado por la realidad.

viernes, agosto 31, 2007



Hace un montón que no escribo en el blog...


Al final me he decidido porque si no a ver si un día desaparece y aún no he imprimido lo del Erasmus. Si alguien está pensando ya en qué regalarme para navidades dejo caer este comentario porque me pareció muy buena idea cuando se lo hicieron a Marta el año pasado.

;)


Encima esto de escribir aquí me cohibe porque por lo visto Philippe ("hola Philippe") lo lee de vez en cuando y cuando le vi en Tours me echó en cara mi pesimismo. Pues mira no, si te deprime no lo leas Phil! habrase visto...

Solo apuntar dos cosillas que me han hecho pensar bastante, son indicaciones del famoso Oscar Wilde, ¿Qué hace falta para ser escritor?

1___ Tener algo que decir

2___ Decirlo


Pues ahí resultará que está el truco para todo en esta vida, querer hacer algo y ni más ni menos que hacerlo. Las ganas son la nada, las ganas se quedan en el tintero y no llevan las palabras al papel. Las ganas no bastan para hacernos mover el trasero. Sin acción el futuro es aún menos certero.


Así pues, tendré que irme a estudiar, porque con querer aprobar no basta jaja.

Y sobre mi avenir... nada está aun dicho. Solo que comienzo a temer equivocarme si me dejo sacudir en exceso por el viento, ya que mis raíces se niegan a asentarse y permanecer mucho tiempo en la misma tierra, pero ¿a dónde iría entonces si me dejo arrastrar de este modo por la deriva?
Este año no habrá Francia, ni Nueva Zelanda, ni apenas España... temo perder mis raíces del todo y algún día no tener a donde volver.
Cada vez que emprendo un viaje ese es mi miedo, si todo estará igual que como lo dejé, y si algún día algo ha cambiado demasiado, alguien ha desaparecido para siempre, ¿podré decir que he vuelto a donde pertenezco? No sin perdonar mi ausencia cuando se produjeron los cambios.
PD: ya está, mensaje pesimista y una nueva excusa para que Phillippe me de la bara!
Besos

domingo, julio 22, 2007

Miserables las mujeres que mezclamos los sentimientos en todo

Que conste que no es por elección, se nace, simplemente con esta desgracia, pero bueno, como bien dice Luz ¿qué son los pequeños obstáculos si no entretenimientos en medio de la monotomía, o estaciones de servicio en medio de las autopista? Pues nada, que nos queda qué aprender de los hombres, aunque parezca mentira, hay una cosa en la que nos superan, son más fuertes porque pasan de mezclar los sentimientos.
Qué gilipollas somos la mayoría... por fortuna siempre sabemos que todo es cuestión de días... tiempo a tiempo, no?

Lo peor es que acabemos perdiendo la total confianza, y es que los "affaires" y el amor son como el bayleis y la Cocacola, que están mejor sin mezclar. Ójala exista la convinación perfecta u os juro que me haré abstemia, o me pasearé otra vez por Chueca con sobradas intenciones, quien sabe si no nos entenderemos mejor entre iguales, no?

jajaja podría ser el típico post de una despechada, ahora me doy cuenta ¡Qué horror! y como ya hablamos muchas veces, si nos hacemos lesbianas vale, pero POR DESPECHO NOOOO!


Qué coño! sentir! sentir cuanto queráis, porque mientras sentimos sabemos que vivimos, ESOS, no sienten, ESOS, hace tiempo que murieron, si es que alguna vez estuvieron vivos, o como mucho solo viven para ELLOS.

lunes, junio 25, 2007

Un año

Lease con esto: ;) http://www.youtube.com/watch?v=sq50RkCtBA4


Os acordais de hace un año? supongo que aquel día, precisamente, más que muchos otros de aquel año me pregunté qué estaría haciendo tras 365 días... me pregunté cómo me encontraría, si habría vuelto, si lo celebraría allí con mis amigos, si seguiríamos en contacto, si nos veríamos, si todo se había acabado y el día 25 de Junio el reloj de la Cenicienta había dado su doceaba y última campanada, la campanada que significaba la vuelta a la realidad.
Tengo que decir, que no esta mal sobrevivir al Erasmus, y no podeis imaginar lo contentísima que estoy de haberlo hecho, de haberos conocido, de haber "aprendido" francés y, qué coño! de haber vivido! porque aquel año pasado lo cuento como una vida, una vida que partió de cero, en la que hemos tenido que crear un grupo de amigos que además es una familia, un hogar touranger que ahora se ha dispersado por toda Europa y parte del mundo, pero que se estima y se hecha de menos como cualquier familia unida que ha visto partir a sus hijos del nido, y que sigue cada paso importante de sus miembros.
No sé cómo expresar mi agradecimiento por estar tan presentes pese a vuestra ausencia.
Un año después tengo dos asignaturas pendientes, una es la que dejé pa hacer en Septiembre jeje, la otra, es ver a Marta. Porque prácticamente he podido ver al resto, y no sabeis cómo me gustaría hablaros uno a uno.
Aun guardo una birra del Superete! jajaja Lucia me ha dicho que eso no es un souvenir ni un recuerdo, que la cerveza es pa beberla, además la del Superete es que es supermala, pero la guardo como una reliquia, porque la reservo para una "borrachera especial" jajaja. Ya me entendeis ;)
De esas en las que sueltas el moco y luego se lo limpias al resto mientras te abrazas jajaja, de esas en las que siempre hay una persona en el grupo que sabe tocar la guitarra, y otra que baila, y uno que saca fotos sin parar, y un motón de gente que desafina. Por supuesto también la policía!!

Ayer me acordé de nuestra última noche en Tours, qué desastre, no vino casi nadie al río, claro que llegamos tarde así que si vinieron los que tenían que venir nunca lo sabremos jajaja será lo del lema "je m'en fous" que nos caló muy hondo. Además no dejaba de llover, y yo pensaba en la frase de Luz, que en realidad era una frase de unas amigas suyas jaja, LAS NUBES LLORABAN POR NOSOTROS.
Yo al menos así lo sentí. Hizo un tiempo maravilloso, nuestro últimos momentos allí fueron como cualquier otro, nada, NADA, apuntaba aquel final inminente que pondría su broche de oro al día siguiente. Pero entonces, llegó la noche. Las nubes lloraron y nosotros con ellas.
Lloró Tours, lloraron las piedras, lloraron las casas de las cicatrices de guerra, lloraron los cuatro árboles de la Place Plum, lloró l'auberge... y el Loira recogió todas las lágrimas con su elegancia habitual. Tan solo el río seguía su curso, fue el único que no se detuvo para decirnos adiós, o eso me pareció a mí.
Y al día siguiente después de un desayuno inolvidable me fui en coche y volví a salir a las planicies de Francia, a esa inmensidad tan aburrida de remolacha y flores amarillas, y fue cuando tomé totalmente consciencia de que Tours era una burbuja en medio de la monotomía.
Me dio miedo que Tours llegara a ser lo mismo en mi vida.

No es así. Cuento con muchos balones de oxígeno que me prestan aliento cuando apenas tengo, pero se componen fundamentalmente de pequeños recuerdos y grandes sueños, sólo podría añadir que tanto para lo uno como para lo otro vosotros siempre estais ahí.

MUCHÍSIMA SUERTE!
ON SE VOIT? OUAIS, À PLUS TARD! CHEZ SAN! J'AI ENVIE D'UN VÉGETARIEN AVEC CRUDITÉS, AVEC DU MAYO ET UN PETIT PEU DE PICANT!!!!


jajaja que final más cutre, pero es pa quitarle peso al asunto hombre! que siga el cachondeo muaaaaaaaaaaack ¡Os quiero!

sábado, junio 23, 2007

L'envie reste

Aujourd'hui c'est la nuit des sorcières, aujourd'hui c'est la nuit du feu. On suposse que c'est une nuit magique, mais je ne m'ai pas rendu complètement compte encore. En fait, c'est une nuit comme n'importe quelle autre, j'étude, ou au moins je l'essais, lol.
Ou peut-être plustôt je compte les feulles sur lesquelles j'ai déjà "travaillé" et après celles-là que je n'ai pas lu encore. Je decore mes notes avec beaucoup de coulers, et finallement je pers mon temps en faissant que tout soit si beau que j'aimerais montrer mes notes à tout le monde. C'est possible que je puisse gagner de l'argent avec mon ouvre d'art dans une expo d'art moderne? Bon, je ne le sais pas mais c'est sûr qu'il serait mieux de commencer à faire quelque chose de vraiment utile pour moi.
Cette nuit de sorcières, je ne vais pas brûler mes pêches, mes dèsirs pas complets, je ne vais pas demander quelque chose à personne, car je sais que j'ai tout celà dont j'ai besoin en moi. C'est comme ça, tout simplement, mais c'est aussi bien, bien caché!!
Et, d'une autre part, l'envie reste, oui, elle reste. Ma tête est déjà en vacances, sans avoir demandé avarnt partir le permis à mon corps. Elle est toujours en train de penser aux livres qu'elle va lire, aux lieux où elle va se réposer tranquellement, aux blagues qu'elle va dire et entendre... je ne peux pas attendre!
Si vous voyez ma tête, ditês-le que j'ai besoin d'elle pour qu'on merite des bonnes vacances en finnant les examens s'il vous plaît. Dîtes-le que je n'oubliarai la promesse parce que aussi en moi, l'envie encore reste.

martes, mayo 29, 2007

Maldito el día que nos vendieron la moto del romanticismo

Nos vendieron la moto de la damisela en apuros, de las hermanastras malvadas, de los príncipes azules, de las perdices y los banquetes en los que se baila con zapatos de cristal, de los sueños de diez años que detienen el envejecimiento, de las brujas envidiosas, de las princesas encerradas en la más alta torre del más alto castillo, de los caballeros vencedores de dragones...
Chicas... se acabó el soñar con la época de las princesas y con pertenecer a la realiza, pertenezcamos al mundo real.
No necesitamos a nadie que nos rescate de nuestros propios follones, no necesitamos ser las más bellas del baile para ser las más auténticas, ni necesitamos los mejores zapatos para ser las más animadas en la pista de baile.
No tenemos que esperar al beso de un príncipe para despertar, si estamos ya despiertas podremos elegir, o no?
No queremos que nos cuenten cuentos, queremos narrar nuestras propias historias y hacer historia.
Mucho menos tenemos que conformarnos con esperar... en la más alta torre de la más alta irrealidad e infelicidad, oteando por la ventana la llegada del salvador.
Porque nunca nos contaron estos cuentos al revés? como deberían ser en verdad?
Como dice Maria Grazia, viva la "Princesse Metropolitaine" la princesse de nos jours qui n'a pas besoin de rien de bleu!

domingo, mayo 06, 2007

Fish Fucking/ o que te folle un pez! jeje

El título viene por lo que una vez creí entender o traducir... no coments, my English is really awfull! et pire encore mon français!
Como que casi suspendo, francés! y aún está por ver... la causa: tocarme las narices, simple y llanamente.
Pero bueno, la profesora se moletó en mí, me presionó y al final me estoy poniendo las pilas de nuevo con el idioma este, al menos voy a intentar ir a clase! jeje
Sigo teniendo trabajos a patadas que aún no he ni empezado.
Ahora mismo mi vida es un peregrinar inútil a la biblioteca para comprobar una y otra vez que los libros que necesito no están en su lugar, o los tiene Fulanito, o se cambiaron de estantería, o se perdieron, como dice el bibliotecario mismo "en el espacio-tiempo", manda güevos!!
Así que me quedan los que nadie más quiere, los escritos "en extranjero", y así me quedará el trabajo porque mi traducción es bastante libre! jajaja ni siquiera uso el diccionario, porque ya leo bastantes libros como pa encima coger un "tochu" más!
Por otro lado no sé qué está pasando, que todo el mundo me hace confidencias y me habla de su vida privada, lo de esta semana es lo nunca visto! incluso gente que acababa de conocer, ya me sé los pormenores de los pormenores y no tenía ni ganas ni curiosidad de conocer la mayoría pero bueno, me lo tomo como cumplido, será que me ven cara de psiquiatra o yo que sé! lo peor... cuando me piden consejos amorosos... si a mi estas cosas me entretienen un montón pero, por qué a mi? no se ve a la legua que de eso no tengo ni idea? enfín, allá ellos!

Mi hermana ya no vive en Oviedo, ha vuelto al hogar paterno, y yo no tardaré mucho, pero ahora estoy entendiendo el sufrimiento y los quebraderos de cabeza de Marta el año pasado cuando el último mes venía el dueño a hacer el État de lieu. Como no me devuelva la fianza... encima que todo lo que está roto lo rompieron los mismos! los mismos que siguen ensuciando y crean el caos cada vez que se les dice que limpien. A mí se me hace imposible, pero en serio que estos chabales lo hacen inocentemente, voluntad (a veces) ponen, pero ni pizca de arte!
Ayer después de bastante tiempo por fín salí, estaba metiendome en la cama cuando recibí un mensaje de Claudia, que estaba con su amiga que se vino de viaje con un grupo de geógrafos gallegos y claro, yo tenía que verles! jajaja. Lo más impactante de la noche ha sido una conversación MUY FUERTE que he tenido con un cubano que iba con ellos, jajaja no la pongo aquí por no escandalizar, o bueno sí, es que me acordé mucho de Cristian el colombiano porque este susodicho afirmaba que lo peor que te puede ocurrir es que tu chico/a se te deje por alguien de su sexo, y yo le dije que eso te ayuda a asumirlo porque entendería perfectamente que a mi novio no puedo ofrecerle una "poya" si eso es lo que le gusta! jajaja entonces la cosa degeneró más y más, tenía ganas de que Claudia, Katja o alguien me salvara de aquella conversación pero no ocurrió. Aquel galán de ébano y chapado a la antigua dijo que si en ese hipotético caso el hombre es "activo" la culpa de que se vaya con otro hombre es de la mujer! qué???????? (vais pillando ya por qué me recordó a Cristian? fué aquella conversación en el Au Temps des Rois, cuando dijo que no hay penes pequeños sino vaginas enanas... qué cara dura!) Pues ahora también es culpa de la mujer! y bueno... si cuento el resto ya alucinais jajaja
En definitiva, que hizo apología del sexo anal, y yo digo FISH FUCKING! que te joda un pez!


PD: Tengo llamadas nacionales gratis, así que me mandais los teléfonos, que tengo muchas ganas de hablar con vosotros. Besitos muñecas y Marta, no me creo sus excusas pero tal vez no merezca la pena. Al restos, Veroh, Borja, Edu, Sofia, Luci, Luz y Mery... ya lo sabeis!
;-)

Oh dios! me acabo de acordar, ¿Cómo se llamaba la empresa esa que queríamos hacer el año pasado? jajaja Logramarluz???joi joi joi, no pongo mi nombre delante por nada, es que era así ¿no?