viernes, octubre 24, 2008

Où tu arrives vers nulle part?

Il s'agit de l'histoire d'un homme qui se laisse bouger par les vents qui emportent les circonstances de cette vie si changeable.

Si il avait des moutons ils iraient toujours où ils veulaient car il, le maître, ne connais plus les chemins, non plus les près où ils pourraient trouver de l'herbe fraïche.
Si il avait un bateu, il s'agisserait sans doute d'un bateau sans timon, sans voiles, rien de plus que l'armée en bois poru floter sur la mer sans se noyer.

La cible de ses voyages: chacune des côtés du rond monde qui puisse signaler la boussole.

Où est-ce qu'il mangeait? où on avait une assiette prête pour lui.
Où est-ce qu'il dormait? où il trouvait une place sèche et confortable.

Quand il était petit, il ne voulait que devenir grand, quand il était déjà un adulte, il ne volait que devenir agé, et pui, il ne voulait que profiter de la vie que lui restait qu'en attendant la mort.

Les gens comme lui, finallement ne sont pas tout à fait heureuses, non plus malheureuses car en se laisan bouger pra les fleuves sauvages des évenements de chaque jour, elles ont toujous des motifs pour se plaindre et aussi des surprises et des excuses pour être contents.
Mais qui est comme lui, fianllement oublie le sens de sa vie. Et si c'est déjà difficil d'arriver à identifier ce sens-ci, plus difficil encore c'est d'arriver à ne pas l'oublier.

Lui, il prennait toutes les chances, il voulait toujours laiser toutes les portes ouvertes et lui, il ne faisait jamais tourner sa tête, alors je vais vous raconter ce que lui serait arrivé de l'avoir fait. Si il avait fait tourner sa tête en arrière, il aurati vu que lin d'avoir plus de portes ouvertes, le rien souflait un vent froid sur ses épaules, il faisait tellement de choix, de changements sans ordre qu'il aurait mal à se rappeler de plusierurs. Plus encore... parmi les protes qu'il avait en face, toutes étaient fermées ou un peu ouvertes, aucune d'elles totallement ouverte. Il ne aprofondisait jamais en rien.
Et la porte la plus lointine de lui, celle qu'on lui aviat doné comme destin depuis le jour de sa naissance.

Qu'est-ce qui fairait-il?


Comme vous pourrez apercevoir, j'ai des idées étonantes quand je voyage en train lol, ok, c'est comme ça, c'est justement que je ne veux pas oublier ma deuxième langue préférée, lol.

4 comentarios:

Anónimo dijo...

J'ai beaucoup aimé ton texte, ainsi que celui sur "la prison que j'ai construit moi même tout autour de moi". Mais en réfléchissant, qui est le plus libre? Celui qui est heureux et n'a pas de problèmes ou celui qui souffre mais exprime ses émotions, les fait vivre, les met sur une feuille de papier ou sur un écran d'ordinateur? Quelqu'un de libre ne pourrait pas écrire d'aussi belles choses que toi Lo. Un beso. jeff

dijo...

HOLA JEFF! QUÉ SORPRESA! APARECES Y DESAPARECES COMO LOS FANTASMAS JAJAJA PERO SIEMPRE ERES BIENVENIDO!

BISOUS!

dijo...

et... donc, je ne suis pas libre...
:(

Mirta Peces dijo...

mmm
me siento un pelín identificada con el protagonista de tu historia....