viernes, octubre 31, 2008

Sí o sí.


Las buenas historias deben ser como la levadura, fermentan inevitablemente en nuestras mentes, durante años, esperando que podamos sacarles partido algún día, elaborando algo que puede llegar a ser grande.
Al menos así es como deberían ser las cosas.
Buon Giorno a Tutti.

LO DEJO TODO EN LA TESA


Cuántas veces no me habré quedado embobada mirándola. Tan alta, tan fuerte, tan magestuosa, tan desafiante, tan maternal.
Siempre me ha costado desprenderme de ella porque sólo frente a su orgulla piedra me siento de algún lugar.

Si algún día, estando lejos, sólo pudiese tornar a un único lugar, ese lugar sería desde el que pueda verla por su cara más amable, la que me es más familiar, la que veo desde la casa de mi abuela, cuando pienso ¿por qué busco tan lejos el paraíso, acaso esto no lo es?

La Mesa, La Tesa, La Almagrera, y a lo lejos Peña Ubiña, siempre blanca, por la nieve o por los brillos de sus rocas claras. A la izquierda una peña negra y El Carrizal.


Por qué siempre diré que quiero irme. Por qué haré tantas veces las maletas y mi acalorada imaginación me pedirá correr tanto, y sufrir tanto también, si no me siento en ninguna parte como me siento ahí... Yo pertenezco a estas montañas, y si no a ellas a los valles que guardan.

Será que a los tesoros se les ve brillar más de lejos.

domingo, octubre 26, 2008

Zazie Sur toi



J'écris sur ce que j'endure
Les petites morts, sur les blessure
J'écris ma peur
Mon manque d'amour
J'écris du cour
Mais c'est toujours

Sur ce que je n'ai pas pu dire
Pas pu vivre, pas su retenir
J'écris en vers
Et contre tous
C'est toujours l'enfer
Qui me pousse

A jeter l'encre sur le papier
La faute sur ceux qui m'ont laissée
Ecrire, c'est toujours reculer
L'instant où tout s'est écroulé

On n'écrit pas
Sur ce qu'on aime
Sur ce qui ne pose pas
Problème
Voilà pourquoi
Je n'écris pas
Sur toi
Rassure-toi

J'écris sur ce qui me blesse
La liste des forces qu'il me reste
Mes kilomètres de vis manquée
De mal en prose, de vers brisés

J'écris comme on miaule sous la lune
Dans la nuit, je trempe ma plume
J'écris l'abcès
J'écris l'absent
J'écris la pluie
Pas le beau temps

J'écris ce qui ne se dit pas
Sur les murs, j'écris sur les toits
Ecrire, c'est toujours revenir
A ceux qui nous ont fait partir

On n'écrit pas qu'on manque de rien
Qu'on est heureux, que tout va bien
Voilà pourquoi
Je n'écris pas
Sur toi
Rassure-toi

J'écris quand j'ai mal aux autres
Quand ma peine ressemble à la votre
Quand le monde me fait le gros dos
Je lui fais porter le chapeau

J'écris le blues indélébile
Ça me paraît moins difficile
De dire à tous plutôt qu'à un
Et d'avoir le mot de la fin

Il faut qu'elle soit partie déjà
Pour écrire " ne me quitte pas "
Qu'ils ne vivent plus sous le même toit
Pour qu'il vienne lui dire qu'il s'en va

On n'écrit pas la chance qu'on a
Pas de chanson d'amour quand on en a
Voilà pourquoi, mon amour
Je n'écris rien
Sur toi
Rassure-toi

viernes, octubre 24, 2008

Où tu arrives vers nulle part?

Il s'agit de l'histoire d'un homme qui se laisse bouger par les vents qui emportent les circonstances de cette vie si changeable.

Si il avait des moutons ils iraient toujours où ils veulaient car il, le maître, ne connais plus les chemins, non plus les près où ils pourraient trouver de l'herbe fraïche.
Si il avait un bateu, il s'agisserait sans doute d'un bateau sans timon, sans voiles, rien de plus que l'armée en bois poru floter sur la mer sans se noyer.

La cible de ses voyages: chacune des côtés du rond monde qui puisse signaler la boussole.

Où est-ce qu'il mangeait? où on avait une assiette prête pour lui.
Où est-ce qu'il dormait? où il trouvait une place sèche et confortable.

Quand il était petit, il ne voulait que devenir grand, quand il était déjà un adulte, il ne volait que devenir agé, et pui, il ne voulait que profiter de la vie que lui restait qu'en attendant la mort.

Les gens comme lui, finallement ne sont pas tout à fait heureuses, non plus malheureuses car en se laisan bouger pra les fleuves sauvages des évenements de chaque jour, elles ont toujous des motifs pour se plaindre et aussi des surprises et des excuses pour être contents.
Mais qui est comme lui, fianllement oublie le sens de sa vie. Et si c'est déjà difficil d'arriver à identifier ce sens-ci, plus difficil encore c'est d'arriver à ne pas l'oublier.

Lui, il prennait toutes les chances, il voulait toujours laiser toutes les portes ouvertes et lui, il ne faisait jamais tourner sa tête, alors je vais vous raconter ce que lui serait arrivé de l'avoir fait. Si il avait fait tourner sa tête en arrière, il aurati vu que lin d'avoir plus de portes ouvertes, le rien souflait un vent froid sur ses épaules, il faisait tellement de choix, de changements sans ordre qu'il aurait mal à se rappeler de plusierurs. Plus encore... parmi les protes qu'il avait en face, toutes étaient fermées ou un peu ouvertes, aucune d'elles totallement ouverte. Il ne aprofondisait jamais en rien.
Et la porte la plus lointine de lui, celle qu'on lui aviat doné comme destin depuis le jour de sa naissance.

Qu'est-ce qui fairait-il?


Comme vous pourrez apercevoir, j'ai des idées étonantes quand je voyage en train lol, ok, c'est comme ça, c'est justement que je ne veux pas oublier ma deuxième langue préférée, lol.

jueves, octubre 16, 2008

Tout s'est passé vite

On peût faire des embardées et tout d'un coup découvrir que tout c'est passé. Les nerfs, les palpitations, la forte respiration, les doutes, n'avaient pas une raison d'être puis que tout s'est passé vite et que l'on n'a que perdu le temps pendant que l'on s'inquietait pour une chose qu'il était sur le point d'arriver. Les choses les plus importantes de nos vies, toujours arrivent sans nous rendre compte, on ne les attend jamais, et on n'a pas apris qu'elles sont importants qu'avec du temps.

Mais rien n'est encore décidé, il faut mettre la cerise sur le gâteau. Il y a quelque chose qui manque encore. Et pendant je me le demande, le temps passe, clic clac clic clac. Sans repos.

Il y a des fois qu'il faut mieux avoir de la patience. Mais pas trop! parce qu'il faut bouger!

Maintenant je suis en train d'écouter presque toutes les versions de "On the streets where you live" qu'il existent lol, je vais le faire jusqu'au ce que je commence à l'hainer. C'est comme ça! on abuse de ce que nous fait plaisir pendant qu'il ne nous dégoûte pas, mais ça arrive souvent.

Est-ce qu'on pourrait alors finir par aimer ce qui commence par nous dégoûter? si c'est comme ça je finirai par aimer l'Histoire et hainer la Literature lol. Tout arrive, c'est par celà que c'est si difficile dire NON. Parce qu'on a peur de refusser à quelque chose de grande, d'importante, qui puisse nous changer la vie.

Mais bon, en changeant de sujet, j'ai déjà fait ma presentation dans un Congrès international et celà il semble déjà quelque chose d'importante. Mon article est toujours pas trop mûr, mais au moins cette expérience m'a aidé à connaître comment est-ce que je peux me débrouiller dans une situation pareille, et bon, pas mal du tout!

Je n'aime pas le dire comme celà mais oui, j'ai été un peu victime, un bouc émissaire ou quelque chose qu'il le semble lol.

Dans ma première presentation j'ai eu plein, plein de questions. Au moins celà me fait penser que j'ai attiré un peu l'atention. Il y a eu même un tout petit débat, et c'est la seule fois que j'ai vu quelque chose de pareil dans ce congrès-ci.

Bien sûr je ne suis pas allée à toutes les présentations car je suis en train de faire un peu de vie sociale, lol, et les autres experts qui vont souvent aux congrès m'ont dit que le plus fréquent c'est se laisser voire un peu au lieu du congrès et puis partir prendre un pot ou quelque chose dans plusieurs bars lol. Ce que j'aime la vie des congresistes si c'est toujours comme celui-ci lol! Mais cet autre d'Historire Médievale, il n'était pas mal non plus.

Mais bon, les gens qui me connaissent un petit peu là-bas, m'ont dit que j'ai été très élégante par reconnaître mon ignorance ha ha ha. Oui, c'est bien celà, si est-ce qu'on est bêtes il faut au moins montrer qu'on est suffisament vifs pour le reconnaître avant de que ce soit évident pour tout le monde lol.

Ok, le petit informe c'est fini. Bye bye.

sábado, octubre 11, 2008

ENCORE ET ENCORE ET ENCORE UNE FOIS



Toujours pareil, j'ai en marre, je ne le soupporte plus. Je ne l'aime pas. Je ne veux pas en retourner encore, mais oui, je suis là, encore et encore et encore une fois, sur le même point.


Même si je crois avoir fait des taps de trucs pendant tout ce temps là, je n'ai pas bougé.


Comment arrêter cette histoire sans fin? cette histoire que toujours arrive au point de départ. Si coquine qu'elle me semble chaque fois différente, et pourtant elle est toujours la même.




Là je m'arrête, je prends de l'air. Je me dis encore une fois, j'ai en marre. Je me dis aussi à nouveau, ok, c'est égal, je m'en fous, je n'en ai pas besoin. Mais maintenant je commence a identifier ces moments d'évanousiment, d'atourdisement et de folie. Parce qu'ils ne viennent jamais a moi par première fois, et non plus par dernière.




Je ne trouve pas la façon de m'en fuir de la prison que j'ai construit moi même tout autour de moi.