Hier je suis allée au festival de films courts (cortometraje mais je ne sais pas comme ça se dit en français) à Oviedo avec ma tanden française et ses amis, je ne sais pas pourquoi mais les français, ils sachent toujours plus de trucs comme ça que les gens qu'habitent ici, il doit être quelque truc que les français ont à la tête pour cette sorte de choses...
Bon, c'était très bien, en plus gratuit mais je pensais bcp au cours que j'étais en train de ratter et je n'ai pas pu profiter complétement de la seance de cinéma.
Heureusement aujourd'hui j'ai découvert que tout le paysage était couvert de neige et que le cours que j'ai à 20 heures s'est annulé, donc je pourrai aller au festival sans problèmes. Le théâtre c'est pas très loin de chez moi.
Hier j'ai essayé aussi à téléphoner à ma soeur... elle ne décroche pas. C'est pas la casualité, elle ne veux pas me parler. Elle es mal et je ne peux pas parler avec elle, je veux la contacter. Depuis quelque temps, depuis qu'elle a quitté la maison, on est plus loin d'être la famille idéale que jamais.
Je ne sais d'elle qu'a travers de ma mère. Elle m'a dit que hier elle a beaucoup pleuré, elle se sens toute seule, et le pire c'est que maintenant elle habite la même petite ville que moi.
J'ai honte de moi et de tout ça qui m'entourne. Du comportement indifférent de mon père, de l'éxasperation de ma soeur, de l'éducation que mon petit frère est en train de recevoir en voyant comme normal tout celà.
J'ai honte aussi de ma passivité. Et de voir comme ma mère fait des éfforts constants pendant que le reste de nous s'acomode a toute cette situation.
Ma grand-mère, elle aussi souffre, tout le monde est agité. Je ne peux pas donner des réponses. Et tandis tout celà arrive à mon environement, je découvre que je n'ai pas le talent, que je ne fairai rien de profit. Peut-être jamais.
Je découvre que j'ai mois d'amis que je croyais, car ils ne sont pas venus à l'université pour faire des amis... selon ce gens... après 5 ans c'est bien le savoir!
Je découvre que c'est pas si difficile de faire des nouveaux, mais que je suis trop fatiguée, d'une côté je suis en train de désirer une vie stable, savoir, pendant un temps, que les gens que j'ai proches à moi seront les mêmes pour au mois quelques années... Vous que savez mon histoire, vous savez que je n'ai fait que changer d'amis toute ma vie. Ça m'a fait très sociable, mais cette sociabilité a eu des époques de fermeture... chaque fois que je me fatigue.
Je vous aime, vous le savez. Désolée de n'être pas plus sympa, de pas raconter des choses amusantes, en tout cas je ne peux pas las raconter sur internet. Merci de m'avoir donné votre amitié, car je n'ai rien fait pour la mériter.
Bien à Vous.
Sincèrement.
Lorena.
jueves, enero 25, 2007
miércoles, enero 24, 2007
Por cuando en cuanto (me hizo gracia la expresión, es de lo más inútil jaja)
Esta parece mi eterna pregunta, ¿qué hacer con mi vida? por cuando en cuanto me centro en mi sucio individualismo y me olvido que nada de particular tengo, si, por muy especiales que se crean algunos, todos somos iguales, y quien diga lo contrario es porque vive en la ignorancia de los otros imbuido en su egocentrismo.
Ayer hablaba de ello, hoy solo lo pienso por no aburrir a las piedras. No pido a lo más Divino que me de cualidades, sólo que me ayude a descubrirlas. Pero ningún derecho tengo, carezco de privilegios por encima del resto de los humanos para dar salida a todas mis dudas y conseguir lo que todos añoran. Pura y simple naturaleza humana.
Y entre tanto, por cuando en cuanto, mon coeur souffre parce que pas écrire c'est comme sécher mon propre esprit, au temps que mes larmes mouyent la surface de mon visage. Et c'est alors que je réalise que tout ça que j'ai fait dans toute ma vie n'a pas été que éssayer à trouver des excuses.
Des excuses pour pas trouver le courage, même des excuses pour m'approcher plus à ma cible.
Je ne sais pas si je m'exprime bien. Le plus sûr serait que pas, car mon français va de mal en pire.
Gran narradora, historiadora? CUENTISTA, c'est ça. Ma vie c'est un compte de chinnois. C'est une scroquerie perpetue, et moi même je suis sa principalle victime.
Comme toujours, au fond de mon coeur je sais que j'exagére, c'est pas tout à fait vrai tout celà que je suis en train d'écrire, alors, ne vous inquiétez pas. Mais d'une autre côté, si j'écris ce-ci c'est parce que maintenant je le sens.
C'est ma maladie, désolée si elle vous énnuye. Tout ça que je raconte ici n'a pas un bût concret. Je n'attends pas que vous le lirez, pour dire vrai, si maintenant je suis en train d'écrire en français, malgré mon niveau, c'est parce que vraiment je ne veux pas ouvrir mes pensées comme ça, à tout le monde. Tout ça c'est simplement parce que après avoir écrit ici beaucoup de fois je me sens mieux.
...quelques fois je pense à Rilke, merci Luz de me l'avoir présenté, et comme j'imagine que beaucoup d'écrivains feront sans doûte, j'imagine aussi qu'il est en train de me parler à moi directement, et il me dit que je serai écrivain seulement si je sens que vivre pour moi c'est écrire, mais je me sens plus proche à l'idée de que si je n'écris pas je meurs...
ça fait longtemps que je mors un peu.
Je n'aurais pas aucune chance si en ayant ce fot besoin je n'ai non plus aucun talent. J'ai peur à le découvrir, j'ai peur à quitter toutes les choses que j'ai maintenant pour rien.
Mais il n'y a pas la façon.
Y por cuando en cuanto no me decido, sigo serpenteando a lo largo del mismo camino. Me acerco sólo de soslayo, me aparto un poco y después de mirarlo desde la distancia doy la vuelta.
Ayer hablaba de ello, hoy solo lo pienso por no aburrir a las piedras. No pido a lo más Divino que me de cualidades, sólo que me ayude a descubrirlas. Pero ningún derecho tengo, carezco de privilegios por encima del resto de los humanos para dar salida a todas mis dudas y conseguir lo que todos añoran. Pura y simple naturaleza humana.
Y entre tanto, por cuando en cuanto, mon coeur souffre parce que pas écrire c'est comme sécher mon propre esprit, au temps que mes larmes mouyent la surface de mon visage. Et c'est alors que je réalise que tout ça que j'ai fait dans toute ma vie n'a pas été que éssayer à trouver des excuses.
Des excuses pour pas trouver le courage, même des excuses pour m'approcher plus à ma cible.
Je ne sais pas si je m'exprime bien. Le plus sûr serait que pas, car mon français va de mal en pire.
Gran narradora, historiadora? CUENTISTA, c'est ça. Ma vie c'est un compte de chinnois. C'est une scroquerie perpetue, et moi même je suis sa principalle victime.
Comme toujours, au fond de mon coeur je sais que j'exagére, c'est pas tout à fait vrai tout celà que je suis en train d'écrire, alors, ne vous inquiétez pas. Mais d'une autre côté, si j'écris ce-ci c'est parce que maintenant je le sens.
C'est ma maladie, désolée si elle vous énnuye. Tout ça que je raconte ici n'a pas un bût concret. Je n'attends pas que vous le lirez, pour dire vrai, si maintenant je suis en train d'écrire en français, malgré mon niveau, c'est parce que vraiment je ne veux pas ouvrir mes pensées comme ça, à tout le monde. Tout ça c'est simplement parce que après avoir écrit ici beaucoup de fois je me sens mieux.
...quelques fois je pense à Rilke, merci Luz de me l'avoir présenté, et comme j'imagine que beaucoup d'écrivains feront sans doûte, j'imagine aussi qu'il est en train de me parler à moi directement, et il me dit que je serai écrivain seulement si je sens que vivre pour moi c'est écrire, mais je me sens plus proche à l'idée de que si je n'écris pas je meurs...
ça fait longtemps que je mors un peu.
Je n'aurais pas aucune chance si en ayant ce fot besoin je n'ai non plus aucun talent. J'ai peur à le découvrir, j'ai peur à quitter toutes les choses que j'ai maintenant pour rien.
Mais il n'y a pas la façon.
Y por cuando en cuanto no me decido, sigo serpenteando a lo largo del mismo camino. Me acerco sólo de soslayo, me aparto un poco y después de mirarlo desde la distancia doy la vuelta.
sábado, enero 13, 2007
Con la vida social en los talones
Es que cuando la encuentro me cuesta un montón escapar de ella, y no es época que hay que estudiar! Tengo tan pocas asignaturas que es superchungo subir la media y no es nada difícil bajarla.
Me empiezan a gustar de verdad algunas asingnaturas, sobre todo las que implican hacer algo más que chapar. Si, me gusta la investigación. Ahora me he propuesto meterme si puedo en una asociación que se dedica a hacer archivos sonoros y documentales sobre Asturias entrevistando a gente mayor e intentando registrar todo lo que se va a acabar de modo irremediable antes de que se borre todo rastro o posibilidad de recuperación del pasado histórico.
Me hubiese gustado darme cuenta antes y hablar largo y tendido con mi abuelo sobre muchas cosas, pero nunca lo haces porque cometes la estupidez de pensar que siempre estará allí. Es un error, todo se acaba, y a veces esa futilidad es lo que nos hace movernos.
Nos fuimos unos 35 al albergue de Pinzanes. Estaba mono, con muchas figuritas de los 20 duros y todo eso. Nos cogimos la habitación guay, teníamos baño, pero muy pronto descubrimos que no era tan guay, porque en todo el albergue solo había ese baño y el del pasillo, así que todo el puto día entraba y salía gente medio en bolas de nuestra habitación!
La alberguera era una borde que experimentaba con nosotros lo que aprendía en sus cursillos de cocina, y va en serio, todos los días se piraba a Oviedo a sus clases y a la hora de la cena nos convertíamos en sus cobayas.
A los nueve que nos tocaba la misma parroquia nos dejaron el patrol de Geología. Vaya birria! parecía que íbamos en camionetu! tanta seguridad en los tiempos de hoy y ni airbarg, ni cinturón de seguridad, ni asiento prácticamente pa los cuatro que iban a granel atrás!
El que hacía de chófer era un temerario que casi nos desgracia y puso el patrol a dos ruedas, luego dijo "no pasa nada" claro, pa que pase algo pa él debe ser que el coche tiene que dar tres o cuatro vueltas de campana! jajaja otra vez nos quedamos contemplando el paisaje de la niebla rodeada de montañas y tal bajo un precipicio, pero el chaval con su buena intención: "esperad que os acerco pa sacar fotos" nooooooooooo! menudo sicópata! jajaja
Luego con lo del trabajo en grupo discutimos bastante. El que no es teatrero es un celero y si no un pesimista o un pasivo, no es que yo no tenga güela, pero joer! las cosas o se hacen bien o mejor no hacerlas!
Los pueblos daban mucha pena, y bien por esto, o porque no logremos nada hasta entrada la noche, o porque tenía la regla y pocas veces estuve tan hormonada... me echaba a llorar por nada!
Tuvimos la mala puntería de ir a llamar a la puerta de una casa donde hacía una semana había muerto el hijo de cuarenta y un años dejando a dos niños pequeños, el paisano hacía tres dias salió del hospital y tenía marcapasos y la paisanina se puso a llorar y tuve que abrazarla y todo con lo que yo también me eché a llorar. Luego nos fuimos a otra casa y... casi que más de lo mismo!
Las noches de juerga. El primer día cogimos las almohadas y nos fuimos a meter de hostias a los de geografía jajaja que tontos que son! luego les dimos a las de arte, vale, eramos casi 20 contra dos, pero es que son muy pijas y les tenemos un poco de mania, pobrecillas! jajajaja.
La gente contaba pila de historias por ahí. Tesoros, castros, túneles de los moros, hijos ilegítimos de los curas...
Me metí con uno por el monte, lleno de pinchos pa buscar unas ametralladoras y una zanja de la guerra civil pero no vimos nada porque la maleza lo cubría todo. Al menos salimos a artarnos, porque el resto ni salió del coche! no, que va! estaban ahí dando ánimos "eso que haceis no vale pa nada! quiero marchar ya a casa" y cosas por el etilo...
La gente hablaba con mucho miedo de Campo Castiello, un prao en el que hay un castro. Siempre hay historias extrañas en torno a los castros, tienen un nosequé que los convierte en blanco de todo tipo de leyendas. La gente decía que habían visto bailar ahí a las brujas, o que de noche se oían ruidos y entierros.
cuando de noche nos juntamos con todos unos pocos quisimos hacer expedición nocturan hasta el castro pa ver si veíamos las brujas! jajajaja somos un poco flipaos y tal. La cosa cambió cuando algunos vieron que se hacía en serio, todos empezaron a rajarse y el que parecía el más valiente decía: " a ver, yo nun ye por nada, nun creo ni ná, pero solo digo que si los paisanos tienen tanto miedo será por algo". TOTAL QUE EN GENERAL LA PEÑA ACOJONÓ.
Me empiezan a gustar de verdad algunas asingnaturas, sobre todo las que implican hacer algo más que chapar. Si, me gusta la investigación. Ahora me he propuesto meterme si puedo en una asociación que se dedica a hacer archivos sonoros y documentales sobre Asturias entrevistando a gente mayor e intentando registrar todo lo que se va a acabar de modo irremediable antes de que se borre todo rastro o posibilidad de recuperación del pasado histórico.
Me hubiese gustado darme cuenta antes y hablar largo y tendido con mi abuelo sobre muchas cosas, pero nunca lo haces porque cometes la estupidez de pensar que siempre estará allí. Es un error, todo se acaba, y a veces esa futilidad es lo que nos hace movernos.
Nos fuimos unos 35 al albergue de Pinzanes. Estaba mono, con muchas figuritas de los 20 duros y todo eso. Nos cogimos la habitación guay, teníamos baño, pero muy pronto descubrimos que no era tan guay, porque en todo el albergue solo había ese baño y el del pasillo, así que todo el puto día entraba y salía gente medio en bolas de nuestra habitación!
La alberguera era una borde que experimentaba con nosotros lo que aprendía en sus cursillos de cocina, y va en serio, todos los días se piraba a Oviedo a sus clases y a la hora de la cena nos convertíamos en sus cobayas.
A los nueve que nos tocaba la misma parroquia nos dejaron el patrol de Geología. Vaya birria! parecía que íbamos en camionetu! tanta seguridad en los tiempos de hoy y ni airbarg, ni cinturón de seguridad, ni asiento prácticamente pa los cuatro que iban a granel atrás!
El que hacía de chófer era un temerario que casi nos desgracia y puso el patrol a dos ruedas, luego dijo "no pasa nada" claro, pa que pase algo pa él debe ser que el coche tiene que dar tres o cuatro vueltas de campana! jajaja otra vez nos quedamos contemplando el paisaje de la niebla rodeada de montañas y tal bajo un precipicio, pero el chaval con su buena intención: "esperad que os acerco pa sacar fotos" nooooooooooo! menudo sicópata! jajaja
Luego con lo del trabajo en grupo discutimos bastante. El que no es teatrero es un celero y si no un pesimista o un pasivo, no es que yo no tenga güela, pero joer! las cosas o se hacen bien o mejor no hacerlas!
Los pueblos daban mucha pena, y bien por esto, o porque no logremos nada hasta entrada la noche, o porque tenía la regla y pocas veces estuve tan hormonada... me echaba a llorar por nada!
Tuvimos la mala puntería de ir a llamar a la puerta de una casa donde hacía una semana había muerto el hijo de cuarenta y un años dejando a dos niños pequeños, el paisano hacía tres dias salió del hospital y tenía marcapasos y la paisanina se puso a llorar y tuve que abrazarla y todo con lo que yo también me eché a llorar. Luego nos fuimos a otra casa y... casi que más de lo mismo!
Las noches de juerga. El primer día cogimos las almohadas y nos fuimos a meter de hostias a los de geografía jajaja que tontos que son! luego les dimos a las de arte, vale, eramos casi 20 contra dos, pero es que son muy pijas y les tenemos un poco de mania, pobrecillas! jajajaja.
La gente contaba pila de historias por ahí. Tesoros, castros, túneles de los moros, hijos ilegítimos de los curas...
Me metí con uno por el monte, lleno de pinchos pa buscar unas ametralladoras y una zanja de la guerra civil pero no vimos nada porque la maleza lo cubría todo. Al menos salimos a artarnos, porque el resto ni salió del coche! no, que va! estaban ahí dando ánimos "eso que haceis no vale pa nada! quiero marchar ya a casa" y cosas por el etilo...
La gente hablaba con mucho miedo de Campo Castiello, un prao en el que hay un castro. Siempre hay historias extrañas en torno a los castros, tienen un nosequé que los convierte en blanco de todo tipo de leyendas. La gente decía que habían visto bailar ahí a las brujas, o que de noche se oían ruidos y entierros.
cuando de noche nos juntamos con todos unos pocos quisimos hacer expedición nocturan hasta el castro pa ver si veíamos las brujas! jajajaja somos un poco flipaos y tal. La cosa cambió cuando algunos vieron que se hacía en serio, todos empezaron a rajarse y el que parecía el más valiente decía: " a ver, yo nun ye por nada, nun creo ni ná, pero solo digo que si los paisanos tienen tanto miedo será por algo". TOTAL QUE EN GENERAL LA PEÑA ACOJONÓ.
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